Les personnes qui choisiront une aide auditive de classe 2 devront supporter un reste à charge important, ou accepter de payer une sur-cotisation à leur mutuelle. Les appareils de classe 1 pourront ne pas convenir dans certains contextes socioprofessionnels ou d’études (bruit, situation de groupe, réverbération, connectivité avec l’environnement technologique), ou pour certains types de surdités, avec le risque qu’ils ne soient pas portés.