Nous avons rencontrés de nombreux responsables à tous les niveaux :
A Rennes avec Madame Montchamp, ecrétaire d’Etat aux personnes handicapées, le jeudi 24 Mars
A Bagneux avec Madame Buisson directeur général de l’AGEFIPH le 15 avril
A Montpellier le 9 avril avec Madame Coletta , conseillère auprès de madame Montchamp
Avec les autorités locales (conseils généraux, conseils régionaux, Universités..)
De ces contacts, il est ressorti que la seule solution permettant la pérennité des services et la continuité des prestations est l’intervention de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie.
Nous nous sommes réunis le 17 Mai pour réfléchir au contenu d’un dossier commun qui pourrait être présenté en appui de cette demande,
Nous avons convenu du fait que ce dossier devait concerner tous les pôles étudiants et non pas uniquement ceux gérés par nos associations .
Grâce à aux apports et à la mobilisation de tous , nous sommes parvenus à rédiger un dossier retraçant l’historique de ces services, leur fonctionnement et leur coût.
Huit associations régionales représentant 10 régions se sont associées à cette démarche
Le 30 mai, nous avons déposé le dossier auprès de la CNSA en demandant que la continuité des services en direction des étudiants sourds soit inscrite comme un objectif national prioritaire et que la CNSA réserve une enveloppe de trois millions d‘euros à cet effet.
Vers une continuit ? des services existants.
Demande de subvention aupr ?s de la CNSA
Parallèlement à cette démarche, les services concernés agissent auprès des autorités compétentes en région pour se mettre en conformité avec la loi 2002-2 du 2 janvier 2002 et ses décrets d’application